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La minute freescully

La minute freescully
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La minute freescully
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20 mars 2010

Perfect Day

Je crois que je suis à un tournant de ma vie. Ces trois derniers mois, j'ai effectué finalement plus de chemin qu'en dix ans. Il faut dire que la situation y est pour beaucoup. Mais bon. J'ai l'impression que les choix que je fais et m'apprête à faire vont déterminer la suite de ma vie (et en même temps, n'est-ce pas le cas de chaque décision ?). C'est difficile, mais je sens que c'est important. J'ai perdu les personnes que j'aimais le plus au monde en peu de temps et aujourd'hui je me sens évidemment seule (même si bien entourée). J'ai enfin pris la décision de faire quelque chose que j'avais envie de faire depuis très longtemps. Je pense que je ne l'ai pas fait avant à cause de ce qu'aurait pu en penser ma grand-mère, mon amour, même si je sais qu'elle ne m'aurait pas jugée, elle ne l'a jamais fait, je ne sais pas je pense que quelque part même si cette ouverture spirituelle est quelque chose que j'ai en moi depuis des années, j'avais peur de la décevoir en prenant cet engagement. Aujourd'hui je pense que c'est le bon moment pour le faire. Même si ça prendra des années, j'ai besoin de le faire.
J'ai envie de devenir celle que j'ai toujours voulu être, celle que je m'empêchais d'être pour beaucoup de mauvaises raisons. Je sens la transformation en moi. Et même si j'ai peur d'un certain avenir (enfin plutôt que la peur que j'ai dépassé depuis longtemps je dirais plutôt que je ne veux pas de cet avenir), je sais que si ça doit ce passer comme ça alors Gam Zou Letova.
Alors bien sûr, ce n'est pas facile tous les jours. Mais je suis déterminée. J'ai envie de devenir moi-même. Ça peut paraître con à dire comme ça mais c'est exactement ça. Et il faut du courage et de la persévérance pour y arriver. En tout cas à moi il m'en faut. Il y a un an, je ne savais pas qui j'étais. Je croyais être quelqu'un mais au final tout ça, ce n'était pas vraiment moi. Toujours en train de vouloir plaire à tout le monde, retournant sa veste plus vite qu'un Sarkozy en campagne (oulàlà attention, tu vas avoir des problèmes, freescully, ton blog va fermer!!!), blessée par le moindre jugement. Aujourd'hui je n'ai plus envie de tout ça. J'ai dépassé le stade où j'ai envie de dire merde à tout le monde, j'ai juste envie d'être forte. Et c'est difficile quand on a été faible pendant 26 ans.
Alors voilà, ce ne sera pas facile mais c'est un nouveau départ qui est en train de s'enclencher. And guess what: I AM NOT AFFRAID!

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10 mars 2010

Frustration

Ce soir j'ai envie d'écrire. Ce soir je ne peux rien dire. Ce soir je sais que tu vas lire.
27 décembre 2009

Pour eux... mes amours réunis...

Do not stand at my grave and weep,
I am not there, I do not sleep.
I am in a thousand winds that blow,
I am the softly falling snow.
I am the gentle showers of rain,
I am the fields of ripening grain.
I am in the morning hush,
I am in the graceful rush
Of beautiful birds in circling flight,
I am the starshine of the night.
I am in the flowers that bloom,
I am in a quiet room.
I am in the birds that sing,
I am in each lovely thing.
Do not stand at my grave and cry,
I am not there. I do not die.


Mary Elizabeth Frye

9 octobre 2009

Die Another Day

Doudou m'a posé une question intéressante hier soir : pourquoi se souvient-on toujours plus et plus longtemps des mauvaises choses que des bonnes ? J'ai tendance à penser que la douleur, quelle qu'elle soit (physique ou morale) est un sentiment beaucoup plus fort que le bien-être (moral ou physique). Et que donc ce sentiment nous reste plus longtemps.
Et qu'en est-il des douleurs qui sont si insupportables qu'on préfère les enfouir ? Oui, il y a celles-là aussi. Et aujourd'hui, j'ai envie d'oublier. J'ai besoin d'oublier. C'est plus facile que de faire face évidemment. Mais je n'ai pas envie. Pas aujourd'hui. Je veux profiter de ces quelques moments fugaces pendant lesquels je laisse la douleur dans une boîte et que je suis une autre. J'ai envie de laisser mes doutes et mes peurs au placard, de me défaire de ma peur panique du jugement, I want to feel powerful, j'aimerais que ma barrière corporelle et mentale ne soit pas si frêle, que je ne m'effondre pas au moindre obstacle, que la bande originale de ma vie résonne à chaque instant, I don't want to be loved, I want to be feared, for once I just want to be above instead of being under.
Mais à chaque fois, ma réalité me revient en pleine figure. Je le sais, ces moments ne durent pas. Comme si quelqu'un arrêtait soudain la musique alors que j'étais en train de chanter à tue-tête et de danser pour me dire de baisser d'un ton parce que merde, je fais chier.
Pour l'instant j'en profite. Peut-être qu'un jour ces moments dureront et sans aide artificielle.

2 octobre 2009

Hurt

C'est fou comme un simple coup de fil peut raviver une blessure qu'on pensait en voie de guérison. N. vient de m'appeler pour m'apprendre la mort du père de L. Crise cardiaque. Comme Nanie. J'ai une boule dans la gorge, envie de vomir. Je ne sais pas comment réagir vis-à-vis de L. J'ai toujours été très mauvaise pour consoler les autres, c'est quelque chose que je ne sais pas faire, je déteste les déluges d'émotions. Mais L. est comme moi, elle ne sait pas gérer ce genre de choses non plus. Elle était là pour moi à la mort de Nanie mais c'était plus pour me changer les idées, pas vraiment pour me consoler ou en parler. Je la sentais très mal à l'aise. Comme moi aujourd'hui. L. et moi sommes amies depuis 7 ans maintenant et aujourd'hui, est-ce que je peux dire que je la connais vraiment ? J'aimerais pouvoir dire que oui. Mais le fait est que L. est mon miroir. Comme moi, elle revêt le masque de la bonne humeur pour cacher quelque chose de plus sombre. Et comme moi, elle évite chaque conversation qui pourrait mener à parler de cette part d'ombre. Tout le monde a des problèmes, d'une gravité relative, dont on parle de temps à autre avec ses amis, juste parce que certains jours le moral est en berne. Mais pas L. Et moi non plus. Alors aujourd'hui je ne sais pas si elle veut que je l'appelle. Pour lui dire quoi ? N. m'a lui-même avoué qu'il ne savait pas bien quoi lui dire alors qu'il la voit beaucoup plus souvent que moi. Je lui ai envoyé un long texto pour lui dire tout ça, que j'étais là pour elle, que je ne voulais pas l'appeler si elle n'en avait pas envie mais qu'au premier signe je serai là. Je viens de recevoir une réponse courte, vu les circonstances c'est compréhensible, mais je ne sais pas quoi faire. Je n'ai pas beaucoup d'estime pour celui que mon acte de naissance désigne comme mon père, aussi je ne sais pas ce qu'elle ressent. Perdre un parent est toujours une épreuve et je ne peux que faire le parallèle avec la mort de Nanie il y a un peu plus de deux ans. 2 ans et 3 mois presque jour pour jour. Et tout ça me revient, je pensais il y a quelque jours aux étapes du deuil et je me demandais où j'en étais. Cela m'avait alors semblé incroyable mais j'avais l'impression d'être arrivée à la dernière étape : celle de l'acceptation. Comme ça, sans même y penser. Mais aujourd'hui, c'est comme si la mort du père de L. me renvoyait toutes ces émotions en plein visage, comme si je venais de prendre un énorme coup dans le ventre. Et maintenant, je pleure et j'ai envie de vomir.
Et soudain je pense, et si L. m'appelait ? Oui, si elle m'appelait maintenant ? Ce n'est pas à moi de pleurer. Oui je connaissais son père, mais ce n'était pas un proche. Je dois me reprendre, ravaler cette tristesse, cette boule dans ma gorge. L'envie de vomir ne me quittera sûrement pas avant quelques jours, pas avant les obsèques. Je dois faire face, je veux être une bonne amie, mais je n'ai jamais su comment faire, je n'ai jamais eu beaucoup d'amis, et aucun qui a déjà vécu ça. Mais je me souviens que L. était là quand je suis rentrée de l'enterrement de Nanie. On a passé la soirée ensemble, elle, moi et Doudou, à regarder des conneries à la télé. On 'a pas parlé de l'enterrement ce soir-là. On a simplement passé une soirée comme les autres, et ça m'avait fait du bien. Peut-être n'est-ce pas plus compliqué que ça.

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10 juillet 2009

The tears of a clown

J'aimerai bien comprendre ce que j'ai de si détestable. J'ai cette désagréable impression que dans n'importe quelle situation quoi que je dise, quoi que je fasse, cela entraînera automatiquement réflexions et moqueries. Il arrive un moment où on ne peut plus se contenter de penser que les autres sont cons. Il y a forcément quelque chose chez moi qui provoque ce type de réactions. Quelque chose tellement ancré en moi que ça transparaît jusque dans ce que j'écris.
Je ne comprends pas ce que c'est mais je sais que plus je lutte contre ce type de réactions, plus ça en déclenche. Elles me blessent au plus profond de moi. Je fais comme si j'en riais mais dans le fond j'ai envie de pleurer. J'ai essayé de passer outre, de me dire que je me faisais des idées, que je n'étais pas plus moquée que ça, mais je n'y peux rien, ça me blesse. Je ne suis pas vexée mais bien blessée.
Je me dis que peut-être je devrais simplement ignorer tout ça, me borner dans ce que j'ai envie de faire et ne pas répondre, ne tenir compte de l'avis de personne. Sauf que j'ai toujours pensé que les remarques pouvaient parfois avoir du vrai et s'avérer constructives je me remets souvent en question et pense qu'on peut toujours s'améliorer.
Sinon j'hésite à me lancer dans un mensonge encore plus grand que celui qui masque ma mélancolie et ma douleur et faire croire à tous que je suis vraiment celle qu'ils ont l'air de penser que je suis. Une pauvre fille un peu con qui n'a aucun talent et qui fait des choses stupides, qui n'a pas de vie, pas d'amis, pas d'intérêt si ce n'est celui de pouvoir se foutre de sa gueule. Pousser leurs moqueries à leur paroxysme dans une grande imposture. À quoi ça sert de lutter? Autant leur donner raison. Et j'aurais au moins le mérite de faire rire la galerie.

19 mai 2009

Une vie de chat

Quand même, quand je lève les yeux de mon écran et que je regarde mon chat, je me dit que c'est cool, une vie de chat. Elle dort toute la journée, elle se réveille pour jouer/un câlin/manger, parfois elle va un peu dehors pour se dorer la pillule au soleil, quand ça lui prend, elle chante (elle hurle en fait, mais je suis sûre que pour elle, c'est de l'art), elle papote, elle n'a aucune responsabilité... Et quand elle fait une bêtise et qu'on la gronde, il suffit qu'elle se roule par terre en jouant avec sa balle de tennis pour qu'on soit tout attendris et qu'on lui pardonne.

J'échangerais bien ma vie pour celle de mon chat pendant une semaine...

18 mai 2009

Le travail c'est la santé (ou pas)

Je me sens profondément stupide. Pas "oh j'ai fait une connerie, je me sens bête" mais plutôt "je suis mentalement déficiente". J'ai l'impression de passer deux fois plus de temps qu'une personne normale à faire certaines choses et en plus visiblement je les fait mal. Je travaille en moyenne 10 heures par jour en ce moment, je revérifie tout, je passe 8 heures sur un même projet, etc et au final les commentaires sont plutôt négatifs. Certains sont constructifs, ce qui m'encourage dans une énièmes relecture dans mon travail, mais même après 4 heures de relecture sur un travail qui m'en a déjà pris 15, ça ne va toujours pas. Pourtant j'ai l'impression de vraiment essayer de faire hyper attention à tout, de rendre le meilleur travail possible mais à chaque fois que je pense que c'est bon, après des heures de boulot, je reçois la correction et je m'aperçois que oui, ça pouvait être mieux. Mais visiblement je suis trop stupide pour faire les choses correctement.

Et puis après, il y a les retours négatifs méchants. Ceux fait par les petits chefaillons qui veulent faire du zèle. Souligner mes erreurs, ok, c'est normal, c'est à ça que sert un relecteur. Mais écrire "Vous auriez pu chercher dans le glossaire!!!!!!!!", c'est du commentaire abusif, du genre qui est là juste pour détruire. Déjà 1. Oui j'ai cherché dans le glossaire, sinon comment j'aurais fait pour avoir toutes les autres références correctes? Ok celui-là m'a échappé, mais c'est ton boulot de voir ça. Pas la peine de sous-entendre que je n'ai pas fait le mien. 2. Les X points d'exclamations à la fin de ton commentaire, ça veut dire "mais t'es con ou quoi freescully ?" A ça je te réponds "oui, visiblement je suis stupide, mais je n'ai pas besoin de toi pour le penser, merci grâce à toi j'ai envie de mettre la tête dans le four (mais tu me diras, tant mieux, comme ça tu n'auras plus à relire mon travail de retardée)."

Même chose, quand je propose à une copine de l'aider avec ce que je sais faire, c'est "oui, oui..." mais quand un autre lui propose de l'aider sur autre chose alors là c'est "oui c'est génial, viens on mange ensemble, on va faire affaire, etc etc". Conclusion : même mes "amis" sont persuadés que je suis stupide et ne veulent donc pas que je les aide. Je comprends, je ne leur en veux pas, ça fait juste mal de s'en rendre compte.

Et moi qui pensais que tout commençait à aller mieux, qu'enfin au boulot je pouvais travailler dans un domaine qui me plaisait, fini l'alimentaire chiant. Moi qui suis dans une éternelle remise en question de mon savoir, qui passe ma vie à me documenter, à essayer d'apprendre de nouvelles choses, à m'ouvrir, j'ai l'impression une fois de plus d'être stupide au point que tous ces efforts ne servent à rien. J'ai l'impression que ce que je fais c'est du vent, que de toute façon mon cerveau n'enregistre rien.

Avec tout ça je n'ai même plus le temps de m'occuper de mon blog sur les séries. Le pire c'est que j'ai l'impression (au vu des retours que j'ai) que tout le monde pense que je me la coule douce et que je n'en fous pas une. Ce qui est d'autant plus difficile à entendre lorsqu'on ne dors pas, ne mange pas et ne se divertit pas parce qu'on travaille. Je dois avoir l'air de quelqu'un de désinvolte, sûrement parce que même si je travaille beaucoup, ça ne provoque pas chez moi un stress panique, donc je ne suis pas en train de courir partout en disant "OMG j'ai trop de boulot !!!".

Bon allez, trêves de babillages, j'y retourne.

2 mai 2009

Ailleurs

Parfois je rêve que je suis ailleurs. Isolée dans une maison paumée au milieu du maquis dans le Sud. Qu'il faut faire des kilomètres en voiture pour trouver le premier signe de la civilisation. Qu'il y fait beau et chaud, que le téléphone ne sonne jamais, que je sois seule. Et je me dis que peut-être là-bas, en hermite, la vie serait meilleure. Et puis je reviens à la réalité. Moi qui aime tant la ville mais déteste tant les autres, je ne serais pas plus heureuse là-bas qu'ici. Il y aura toujours des gens pour me rappeler que je ne suis bonne à rien, que je suis stupide. Pourquoi à chaque fois que j'essaie de sortir la tête de l'eau, de faire des efforts, de faire des projets, de positiver, une personne arrive avec ses gros sabots pour me rappeler à quel point je ne vaux rien. Et cette personne ne le fait jamais à mal, évidemment, si c'était de la pure méchanceté, ça ne me toucherai pas à ce point. Mais non. C'est juste un rappel silencieux de ma médrocrité. J'étouffe, je veux changer d'air, partir loin, fuir tout ça. Mais je sais qu'où que j'aille, je ne pourrais pas changer ce que je suis. Chaque interaction avec un être humain m'est de plus en plus difficile et douloureuse. Je supporte de moins en moins bien les briffades gratuites. Pendant 25 ans j'ai essuyé les crachats sans rien dire, j'ai l'impression que ce sont désormais des pierres qu'on me lance. Ce n'est pourtant pas forcément pire, mais je n'en peux plus.

Et ma mère qui me regarde avec admiration en me disant que je rayonne, que j'ai réussi ma vie, que je suis belle et bien dans ma peau. Si tu savais maman. Je dois être une sacré bonne menteuse pour que tu puisses penser ça de moi. Cela fait des années que ça ne va pas mais depuis 2 ans et demi j'ai l'impression que ma vie est bancale, qu'elle s'écroule petit à petit. Il me suffit parfois de fermer les yeux et de penser à la corde qui se ressert sur mon cou pour être soulagée. J'étouffe, je suffoque. Comment peux-tu dire que je rayonne ? J'imagine que c'est aussi pour te rassurer, toi qui a laissé passé le comportement de mon père pendant des années. "C'est bon, elle va bien, ce n'était pas si grave." Je ne dors plus, je n'arrive plus à réfléchir correctement, je me sens mal, je m'auto-détruis à petit feu.

Doudou ne voit rien non plus. Il est tellement obnubilé par son travail qu'il pense que mon humeur maussade signifie que j'ai un amant et que je vais le quitter. J'ai beau lui dire que non, il est persuadé qu'il a raison. C'est lui qui agit comme ça, pas moi, il devrait le savoir depuis le temps. Si je lui dis que certains jours je ne vais pas bien c'est tout, il se met à vouloir jouer les sauveurs, comme si un baiser et un massage (que je ne supporte pas dans ces moments-là, je ne supporte pas qu'on me touche quand je vais mal) allaient faire s'envoler 15 ans de dépression. Si je ne vais pas mieux après, il ne comprend pas et repart sur sa tirade du "tu vas me quitter" avant de me laisser dans mon coin. Ce week-end il n'est pas là et je n'ai pas le droit de lui parler de mon mal-être sinon il va m'accuser de le faire culpabiliser alors qu'il est loin et ne peut rien faire. J'ignore donc ses appels parce qu'aujourd'hui je ne peux pas faire semblant. Mon seul réconfort est mon amie Absolut. Et au bout de quatre appels, il a craqué, il m'a envoyé un texto pour me dire que puisque j'étais furieuse, très bien, bon we à moi aussi. Si tu savais. J'ai encore trop de scrupules à te faire le coup de la découverte macabre à ta rentrée de week-end mais si tu crois que je passe un bon week-end.

Le gaz a été coupé hier soir, quelle ironie. La vie est une belle salope tout de même et si Dieu existe, il doit bien s'amuser à nous rendre fous.

29 mars 2009

Envie de tout plaquer

Encore une fois. Je suffoque. J'essaie de faire de mon mieux et voilà que cette même personne, qui par ailleurs me demande en privé de l'aider, en public me dénigre. Systématiquement. Dans ces cas-là je n'ai qu'une envie, tout arrêter, couper tout contact avec toutes les personnes liées à cette activité et ne plus jamais en reparler. Passer à autre chose. Recommencer autre chose à zéro avec d'autres personnes. Je me demande quel est l'intérêt de continuer dans ces conditions. Aucun encouragement, des contraintes, et une seule personne réagissant pour me dénigrer. Il faut que j'arrive à continuer cette activité pour moi. Mais je veux faire quelque chose de sérieux et donc m'imposer des contraintes pour que cela fonctionne. Et malgré toute la bonne volonté que j'y mets, je n'ai qu'un dénigrement en retour. Et même pas sur la forme, ça encore, ça passerait, mais sur le fond. Sur mes goûts. Donc sur ma personnalité, sur qui je suis.

Je ne sais pas ce que deviendra cette activité. Aujourd'hui je me pose la question si ça vaut vraiment la peine de continuer...

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